lundi 19 avril 2010

Facebook et Twitter : le bilan

Après avoir rejoint les réseaux sociaux Facebook et Twitter, il est temps d'en tirer un premier bilan.

Sur Facebook, c'est avant tout mon réseau que je tisse. Parti de rien, je suis parvenu à rassembler plus de 200 contacts, qui sont autant d'opportunités pour de futures affaires dans ma vie professionnelle. En rejoignant des réseaux tels que ceux de l'UMP, de l'UNI, mais aussi des groupes de soutient à plusieurs personnalités, j'ai pu devenir ami avec plusieurs parlementaires et même des ministres et personnalités politiques de premier plan tels que Xavier Darcos ou encore Henri Guaino ! Mais Facebook, c'est aussi un merveilleux moyen de militer grâce à la création de groupes pour soutenir des causes. Ainsi, j'ai pu créer un groupe contre les transports en commun, et rejoindre de nombreux groupes pour soutenir ceux que les médias aiment tant critiquer, comme Nicolas Sarkozy ou Éric Zemmour. C'est bien la preuve que la majorité silencieuse est en total désaccord avec nos médias marxistes !

Sur Twitter, n'importe qui peut me suivre pour voir les derniers billets de mon blog, ainsi que quelques coups de gueule salutaires quand j'ai quelque chose à dire mais pas assez pour en faire un billet entier. Je suis également victime de la rançon du succès, puisqu'un autre utilisateur tente de se faire passer pour moi ! Même si j'approuve beaucoup de choses parmi ce qu'il peut écrire, il y a plusieurs indices qui ne trompent pas. Par exemple, il se permet de critiquer les sportifs partis vivre à l'étranger, comme le premier gauchiste venu, sans se rendre compte que ces personnes sont avant tout victimes d'une fiscalité abusive dans notre pays. Ou encore, son nom d'utilisateur, qui inclut le nom "UMP", ce que je ne ferais jamais pour deux raisons. La première, c'est que l'UMP est un parti qui évolue pour rester dans l'air du temps. Autrefois le RPR, il peut très bien changer encore de nom dans les années qui viennent, contrairement au PS qui porte le même nom et véhicule les mêmes idées depuis des siècles. La seconde raison, c'est que je suis quelqu'un d'ouvert aux idées larges, et je ne me refuserait pas à voter pour d'autres partis aux idées proches de l'UMP, comme Alternative Libérale ou encore le Front National, si demain l'UMP voulait persister à voter certaines lois de gauche.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

MDR : parti de rien : comme Michael Vendetta.